Concert punk à Saint Julien en Beauchène le jeudi 28 juillet, à partir de 19h

 LES SLUGS

 Apéro partagé à 19h, puis zic vers 20h (en gros ...)

 Possibilité de dormir sur place (amener tapis de sol et duvet, une tente au cas où la maison soit pleine).

 
Ça se passe chez une copine, un peu paumé en montagne (à bon entendeur-se), vers saint Julien en Beauchène, au lieu dit La Dresq :

Sur la route du col de Lus-la-Croix-Haute, entre la Faurie et St Julien, prendre à gauche la voie 37 qui traverse la voie ferrée et mène au hameau.

 On mettra des flèches...

 Prix libre.

 
Pour voir l’affiche, c’est ici.

Contribution à l'appel au camp de Bure ou « Pourquoi ça vaut le coup d'aller passer la première semaine d'août dans un endroit où il faut faire une demi-heure de bagnole pour aller s'acheter des clopes »

La première fois que je suis arrivée là-bas, j'ai cru être directement tombé dans une forme d'enfer. Difficile en effet de ne pas prendre conscience de l'ampleur du désastre lorsque l'on traverse cette région. Des champs à perte de vue, sans clôtures, sans haies, des céréales, en intensif, des tracteurs immenses, des forêts d'éoliennes, quelques arbres pour faire de l'ombre sur la route, mais surtout personne. On est bien loin du bocage normand… Personne sur les routes, personne dans les rues, pas de bars ni de tabacs ni de commerces, des villages déserts. Même une très bonne agence de voyage aurait sûrement beaucoup de mal à vendre cet endroit comme une bonne destination de vacances…
Et au milieu de tout cela, ce que l'on m'a très vite décrit comme « le Mordor » : le labo de l'ANDRA. Il faut imaginer l'arrivée de nuit sur place pour comprendre. Aux alentours, le plus gros village doit faire quelque chose du genre 120 habitants et les distances pour aller dans n'importe quel endroit se comptent souvent en dizaines de km, autant dire que de nuit, les seules sources de lumière sont la Lune, et les phares de la voiture dans laquelle on se trouve. Mais quand on arrive à Bure, c'est un halo lumineux typique d'une agglomération que l'on voit surgir au-dessus des collines. Lorsque l'on se rapproche c'est un énorme complexe tout illuminé que l'on découvre, avec , sa tour d'observation, son enceinte et sa porte fortifiée. Dans cette nouvelle version de l'enfer, c'est plutôt le fer, l'acier et le béton qui priment sur la pierre, le gris sur le noir. Les gardes de cet endroit funeste pourraient être les seuls rappels que cet endroit est effectivement « humain ». Il n'est d'ailleurs pas rare dans ces moments-là , où l'on peut aussi contempler le cube sombre des archives EDF, d'avoir à jouer au fameux jeu des « réquisitions » avec ceux qui sont sortis faire le piquet(1).
Bref, en clair on ne passe pas par hasard à Bure, on s'y rend. Je n'aurai jamais l'hypocrisie de raconter que cette région est un endroit chouette, où l'on va pour se reposer, profiter du paysage et se ressourcer dans un environnement accueillant.
Il faut avouer par la même qu'il est donc difficile d'effectuer ce trajet sans un certain sens du « devoir de militant antinucléaire ». En y allant on comprend même très bien pourquoi c'est ici que l'ANDRA veut faire sa poubelle nucléaire. On se demande comment on pourrait se sentir à l'aise dans cette région sans y être né. Qu'est-ce qui nous pousse donc à faire des centaines de bornes pour aller là ? Pourquoi ne pas aller aider à la ZAD comme tout le monde, faire les chantiers à Montabot, s'engager dans la lutte anti-éolienne en Aveyron ou dans tout autre lutte plus près de chez nous qui fait au moins un peu rêver ?
Pourquoi y revient-on donc ? Par sens du devoir peut-être ?
J'aurai plutôt tendance à parler de sens de l'urgence, de prise en considération de certaines exigences stratégiques. Et j'y ajouterai que nous avons aussi pris goût à cette lutte, que nous avons commencé à tisser des liens, des complicités voire même des amitiés avec les gens de là-bas.
Il ne s'agira pas ici de refaire l'historique de cette lutte contre la poubelle nucléaire, pas plus que d'alimenter le débat d'experts pour savoir si oui ou non, il est judicieux de réaliser CIGEO(2). Ce qui se joue à Bure, au-delà du fait qu'il s'agit encore une fois d'un GPII(3), d'un projet humainement, techniquement, scientifiquement, éthiquement, moralement… scandaleux et inacceptable, c'est le renouvellement de l'industrie nucléaire française. Avec ses centrales vieillissantes dont beaucoup arrivent en fin de vie dans les 10-20 prochaines années, ce fleuron de l'économie française arrive à un tournant de son histoire, tournant envisagé et étudié depuis déjà de nombreuses années par les experts nucléocrates. D'un côté de nouveaux types de centrales sont développés avec plus ou moins de succès (EPR, ASTRID, ITER), de l'autre cette industrie se retrouve confrontée au problème inhérent à son existence : la gestion des déchets radioactifs. C'est à ceci que CIGEO se veut être une solution. C'est en étant la première dans le monde à « résoudre » la question du devenir des déjections atomiques que la France veut montrer qu'elle est digne de sa place de leader sur le marché mondial du nucléaire. C'est avec cette solution de l'enfouissement que l’État Nucléaire Français veut faire croire qu'il maîtrise toute la chaîne de la production atomique depuis l'extraction du minerai d'uranium (le fameux yellowcake) jusqu'à la gestion des déchets hautement radioactifs des centrales.
Nous n'offrons pas de solution alternative à CIGEO. Nous croyons encore qu'à la question « Que va-t-on faire de ces déchets ? », la meilleure réponse reste « Il faudrait d'abord que l'on arrête d'en produire ». En tant que composante révolutionnaire du mouvement antinucléaire, nous n'avons pas à offrir de solution dans le cadre fixé par l'Ordre républicain, celui là même qui a donné naissance à cette industrie mortifère. Nous n'attendrons pas encore quelques décennies de
plus que la Science trouve une solution miracle. Nous ne proposerons rien à partir des hypothèses en vigueur.
Ce pourquoi nous considérons comme stratégique le choix de lutter à Bure n'a rien à voir avec le fait de revendiquer une meilleure gestion du nucléaire ou de la production d'énergie en général. CIGEO est en effet essentiel à l'industrie nucléaire à son stade actuel. La perspective, aussi lointaine et inatteignable paraisse-t-elle, d'empêcher CIGEO de se faire, c'est celle qui pourrait contraindre les tenants du nucléaire à faire face à cette alternative : ou se jouer complètement des réglementations environnementales, des traités internationaux etc, dans la gestion d'un immense stock de déchets ou bien en arrêter purement et simplement la production. Un potentiel arrêt complet du nucléaire donc… Si l'on en croit effectivement leur propagande, la quantité de rejets radioactifs à gérer en est à un niveau critique. Le CSM(4), cette bombe environnementale à retardement, est rempli et fermé ; l'usine de La Hague commence à être pleine et la consommation de combustible par les centrales est loin de ralentir. Les solutions de stockage temporaires seraient sérieusement en train de se raréfier. Les empêcher de disposer d'une solution « permanente », c'est donc potentiellement les forcer à abandonner la production d'électricité nucléaire par impossibilité de faire face à la suraccumulation de combustible radioactif usé. Ce serait en tout cas grandement les affaiblir… Nous savons en effet pertinemment qu'ils trouveront une manière de se débarrasser de ce problème. Si des scénarios n'existent pas déjà…
L'intérêt de frapper à Bure ne limite pas qu'à cela. Dans la bataille qui s'ouvre nous devons augmenter nos forces, construire une puissance suffisante pour donner au mouvement antinucléaire un capacité de frappe encore plus importante que celle qu'il avait dans les années 1970. Lutter contre CIGEO, c'est lutter contre l’État Nucléaire, contre la République Française, ses disciples et leur modèle de gouvernement par la crise aussi bien économique qu'environnemental. CIGEO n'est qu'une extension du Vieux Monde que l'on combat, peut-être une des plus importantes étant donné qu'au niveau des enjeux, l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes, le parc éolien en Aveyron, le barrage du Tarn, la ligne THT Cotentin-Maine, etc, peuvent apparaître comme des gadgets à côté de CIGEO. Mais ce combat ne commence pas à Bure, le refus global du modèle de société vers lequel nos dirigeants tentent de nous emmener s'est renforcé des expériences de lutte de ces dernières années. Pour beaucoup d'entre nous d'ailleurs, la lutte contre CIGEO ne doit pas être concentrée sur Bure, elle doit s'appuyer sur l'expérience acquise lors de la lutte anti-THT, lors des expulsions de la ZAD ou encore plus récemment lors de la mort de Rémi Fraisse ainsi que des forces qui se sont créées partout en France et en Europe au cours de ces luttes. Nous devons continuer à tresser toujours plus finement notre réseau de solidarités et de complicités, celui qui sera capable de réagir comme il se doit lorsque, de Bure viendra l'appel. Cette lutte sera longue, A Sarà Dura, comme on dit de l'autre côté des Alpes, et nous devons nous préparer à tenir dans la durée.
L'intérêt de ce camp en août est donc d'abord celui-là : renforcer nos liens, élaborer des stratégies, envisager les compositions que nous devrons faire dans les temps qui viennent avec les autres composantes de la lutte et en ce sens préparer nos futures alliances. Il nous faudra également montrer que les conclusions et les enseignements du Week-End de Résistance de Montabot ont été tirées et que nous saurons désormais quand, comment et où frapper sans trop risquer de se faire massacrer par la gendarmerie ou la police. Il s'agirait ensuite de prendre la mesure et de renforcer la dynamique d'opposition locale à la poubelle nucléaire. L'opportunité qui nous est offerte d'ancrer un espace de lutte sur le terrain de l'ancienne gare de Luméville, que certains ont déjà commencé à aménager, est une énorme chance. Cet endroit se situe en effet à un jet de pierre de la prochaine liaison ferroviaire avec CIGEO.
Avec la Maison de Bure Zone Libre, ce sont des bases depuis lesquelles nous organiser, nous rencontrer, nous préparer. Car le pari se situe aussi sur ce plan : notre capacité à habiter le désastre, à le faire reculer, à y faire persister un idéal d'autonomie, à faire exister dans un endroit les plus hostiles de l'hexagone, une forme de vie désirable.
Enfin, pour nous qui devons tellement encaisser en permanence, quelle chance que de pouvoir aller vivre dans un endroit pareil et s'entraîner pour la survie post-apocalyptique ou tester notre résistance à l'isolement ! Nan ?



1 - Il s'agit d'un jeu assez particulier dont les règles sont assez
simples : on doit à tout prix empêcher de montrer sa carte secrète à
l'adversaire. Le(s) adversaire(s) eux, ne peuvent être habiliter à
demander nos cartes que s'il(s) possède(nt) une certaine réquisition
écrite du procureur de la République qui les autorisent à contrôler les
papiers des passagers et le contenu du coffre. La partie (il faut éviter
de trop y jouer c'est malsain) dure en général 30 min, et l'adversaire
perd très souvent, ce qui fait l'attrait de ce petit jeu.
2 - Petit nom « sexy »du projet de centre d'enfouissement pour déchets
nucléaires à Bure
3 - Grand Projet Inutile et Imposé = terme citoyenniste ayant fait
florès il y a quelques temps.
4 - Centre de Stockage de la Manche, Ancien centre d'enfouissement pour
déchets radioactifs remplis avec des méthodes à la « vakomjtepouss »
ouvert en 1969 et fermé en 1994.

 

Cette année, le collectif CALUCHA ne se réunira pas au mois d'Août.

 

On se donne donc rendez-vous dès le début du mois de Septembre !

Mercredi après-midi, un blindé des "carabiniers" a écrasé et tué une retraité de 65 ans à Venaria, Anna Recchia.

C’est une véritable opération militaire qui se déroule contre les manifestants dans le Val de Suse, une fois de plus l’arrogance du gouvernement italien a tué sous les pneus de véhicules de police.

 

Rappel:

 

De violents affrontements ont opposé dimanche un millier de militants écologistes aux forces de police dans le val de Suse, dans les Alpes italiennes, à la suite du début du chantier du TGV Lyon-Turin.

 

Les militants installés en campement à proximité sont réunis dans le collectif No TAV (Treno Alta Velocità, train à grande vitesse) qui regroupe des associations écologistes opposées au tracé ferroviaire.

 

Dès 6 heures du matin, un important dispositif policier de 2 000 hommes était sur place, et des bulldozers ont détruit les barricades élevées par les manifestants. On comptait en milieu de journée plus de 80 blessés dans les manifestants.

 

Le trafic sur l’autoroute et la liaison avec la France ont été interrompus pendant plusieurs heures.

 

Plus d'info ici

NON A LA FERMETURE DE LA FERME DES VIGNES DU BERSAC !

NON A L'IMPLANTATION D'UNE CUISINE CENTRALE SUR CE SITE !

Depuis 1986, la ferme de vie du Bersac accueille un petit groupe de personnes atteintes d'un handicap mental.

Certains habitent dans cette petite structure depuis une vingtaine d'années.

Ce type de structure d'accueil, unique dans le département et l'une des dernières en France, permet pourtant d'amener les personnes handicapées vers une autonomie plus importante et un mieux-être évident grâce à son environnement privilégié (animaux, jardin potager, terrasse, activités d'extérieures et de village).

Au mois d’Avril, l'ADSEA (Association Départementale pour la Défense et la Sauvegarde des Enfants et Adultes), association gestionnaire de ce lieu de vie, annonce aux professionnels la fermeture de cette ferme de vie suite à la construction prochaine d'une cuisine centrale sur le terrain même de la ferme.

L’entièreté de ce projet est mis en place sans aucune consultation, ni des résidents, ni des professionnels de la ferme.

Est prévu également que les personnes qui vivent dans la ferme soient expulsées et relogées, certaines dans des HLM, certaines dans un foyer occupationnel.

Depuis une semaine, les travaux sont commencés et les résidents doivent partir le 29/07.

Pour les soutenir et exiger que la ferme de vie du Bersac, reste leur lieu de vie,

 

un rassemblement s’organise

le 23/07 à 10H00

DEVANT LA PREFECTURE DE GAP

NON A LA FERMETURE DU BERSAC!
NON A LA MARCHANDISATION DU SOIN!

Le Collectif de la ferme de vie du Bersac.

 

 

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Quelques détails :

 

La ferme de vie du Bersac (près de Serres, dans les hautes-alpes), est l'annexe d'un établissement (foyer occupationnel) qui se trouve à 45 min de là à Barret-Sur-Méouge.
Cette ferme fait suite à un projet des éducateurs du foyer principal qui ont, il y a 25 ans environ, élaboré l'idée d'une ferme comme moyen thérapeutique.
Les résidents qui y vivent sont 6 personnes adultes dont 2 habitent là depuis plus de 20 ans. Ils s'occupent eux-même de la maison et de toutes les tâches qui y sont liées (courses, cuisine, jardin, animaux, ménage...) et sont aidés par une équipe de 5 personnes, la plupart éducateurs.
Le terrain est immense, a un panorama des plus beau, et représente un environnement superbe qui leur tient particulièrement à cœur.

Ce qui reste essentiel, dans ce lieu, c’est que ceux qui y habitent gardent une vraie vie collective avec la spontanéité et les possibles que cela comporte, bien loin de la vie déterminée et conditionnée classique des institutions .

Le projet de la ferme , a été soutenu financièrement par l’héritage d’un des premiers résidents de la structure afin qu’il ait un cadre de vie agréable mais cette personne a malgré tout été placée en maison de retraite.

C’est une personne sous tutelle qui a peu de possibilité de donner son avis, ce qui est aussi le cas des résidents actuels de la ferme du Bersac.

 

L’ADSEA ayant imaginé et étant entrain de mettre en place un projet de cuisine centrale, ils ont déjà débuté les travaux, sans permis de construire.

Les résidents de la ferme partent le 29/07, dans un premier temps pendant 3 semaines en séjour dans un organisme de vacance et seront logés à leur retour dans des structures et des locaux radicalement différents (HLM, foyer occupationnel).

Tout est fait par l’ADSEA dans la plus grande opacité, et sans aucune consultation ni des personnes habitant dans la ferme, ni des professionnels.


informations : http://nonalafermeturedubersac.over-blog.com

Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

FESTIVAL ALTERNATIF (3eme Editions)

30-31 JUILLET 1er AOUT - ECOLE (les Bauges) SAVOIE

Autogerer - Autofinancer

Concerts,cirque,spectacles,performances etc...

Bouff,Buvette,camping gratuit....

Entrée: libre participation!

Une grande bouffée d'oxygène.

 

Plus d'info de ce côté-là:

http://festivalalternatifmotivecole.over-blog.com/

Ce fichier, nommé Cristina (Centralisation du Renseignement Intérieur pour la Sécurité du Territoire et les Intérêts NAtionaux), issu de la fusion de la DST (Direction de la Surveillance du Territoire) des RG (Renseignements généraux), a été créé parallèlement à EDVIGE. Issu des données de la DST, il contient des données personnelles sur les personnes fichées, leurs proches et leurs relations , et est classé "secret-défense". De par ce fait,il n'est même pas soumis à la vigilance de la CNIL (Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés), commission pourtant simplement consultative, n'ayant pas le pouvoir d'interdire un fichier (ni l'envie : elle a acceptée sur le principe le fichier EDVIGE).

 

Contre tous ces fichiers liberticides

 

Résistons !


*Scandale au Tricastin : plus de 770 tonnes de déchets radioactifs enfouis depuis plus de 30 ans à même le sol, en toute illégalité !*

**/La CRIIRAD demande la publication d'un bilan exhaustif, la reprise de la totalité des déchets et la décontamination intégrale du site. /**


Le site nucléaire du Tricastin est implanté à la limite des départements de la Drôme et du Vaucluse, sur le territoire des communes de Pierrelatte, St-Paul-3-Châteaux et Bollène. Il englobe 8 Installations Nucléaires de Base (INB1), plusieurs Installations Classées pour la Protection de l'Environnement (ICPE) ainsi que l'Installation Nucléaire de Base Secrète (INB-S) du CEA-Cogéma.

A diverses reprises dans le passé, le laboratoire de la CRIIRAD a mis en évidence des niveaux d'irradiation anormalement élevés en limite du site nucléaire du Tricastin. Ces contrôles révélaient des défauts d'application des règles de radioprotection et soulevaient d'importantes questions sur l'exposition des travailleurs intervenant à l'intérieur du site.

Alors que les citoyens partent en vacances, les eurodéputés s'apprêtent à adopter un dispositif de contrôle des communications privées. Les communautés du Libre, réunies à Mont de Marsan pour leurs neuvièmes rencontres mondiales[1], alertent les responsables politiques et tous les citoyens européens sur un projet qui menace les libertés individuelles. Les commissions parlementaires doivent se prononcer le 7 juillet, veille des vacances; le Parlement doit le voter le 2 septembre, jour de la rentrée, en séance plénière.

Le tribunal administratif de Marseille a sanctionné, le 30 juin dernier, le refus du préfet des Hautes-Alpes d'ordonner le démontage d'un panneau publicitaire installé illégalement par la Chambre de Commerce et d'Industrie, en bordure de la RN 85 sur la commune de Tallard, pour demander la poursuite des travaux de l'A 51.
Contre toutes ces institutions politiciennes pronant le "tout-voiture" sans remise en cause de ce système énergivore et mortifère (et polluant en plus visuellement notre environnement):


Révolution


Et décroissance !

Informations supplémentaires